Re-la suite !… et fin !

Suite et fin : donc si tu débarques que maintenant, prends connaissance deux premières parties avant de lire celle-ci; sinon, forcément, tu ne vas rien comprendre.

« ... En émergeant de l’épaisse brume lumineuse, Julie est accueillie par deux hommes dont les silhouettes lui sont familières. Le visage de son père, marqué par l’inquiétude, progressivement se détache et la ramène enfin à la lumière naturelle. Remise d’aplomb, elle hoche la tête pour lui signaler qu’elle va bien et derrière lui, elle reconnaît Owen, son compagnon, son « chum », comme elle aime le répéter. Elle lui aurait souri si elle avait réussi sa barre. Il aurait acquiescé lui aussi par un large sourire. Mais pas aujourd’hui. Dépitée, la jeune fille sait que sa compétition s’arrête là. Elle se retourne une dernière fois pour regarder Goliath qui vient de gagner cinq kilos et qui attend avec impatience sa prochaine concurrente.

Et puis, quelque chose chez Owen l’intrigue. Sont-ce ses yeux qui la renvoient quelques secondes plus tôt, au moment où elle se trouvait sous sa barre, face à l’étrange petit homme ? Son très large sourire peut-être,… ou la couleur de sa peau ? Non… ses cheveux peroxydés ! Sauf que là, ils sont courts… La sucette ! Et … son maillot en polyester bleu de l’OM, pour les matchs extérieurs, qu’elle a pris pour un corsage en satin !

En voulant lui prendre la main, elle accroche par mégarde son appareil photo… La lumière aveuglante, le flash ! Toutes les pièces du puzzle s’assemblent : avec son mètre quatre-vingt cinq, Owen est loin d’être un nain, mais quand il s’est accroupi pour la prendre en photo, en se tenant en équilibre sur la pointe des pieds, avec sa paire de baskets blanches, il devait à peine dépasser le mètre trente.

Quelle conne…  »

Bon, j’arrête là parce qu’après y s’passe un truc sous la douche entre les deux et ça, ça risque de n’intéresser personne…

Enfin ! comme on dit, toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels passés, présents ou futurs ne serait que pure coïncidence …

One Comment

  1. Dis donc monsieur, je n’avais pas encore lu ces articles, mais ça s’appelle bien une nouvelle ça si je n’me trompe??? Les concours de nouvelles sont ouverts à tout le monde, pas seulement aux princesses de pacotille…à bon entendeur…

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