On peut dire que votre blogueur préféré se creuse la tête pour ses entrées en matière. En cette période de fête nationale où les drapeaux tricolores sont hissés un peu partout et où le vert, le rouge, le bleu ou le jaune illuminent, une fois la nuit tombée, les quatre coins de la France, je profite de l’occasion pour vous parler du code internationale de couleur pour les poids qui sont utilisés en compétition de Force athlétique ou même d’haltérophilie. OK, les connaisseurs n’apprendront rien de nouveau, mais bon, une des raisons de ce blog est aussi de faire découvrir la Force athlétique aux néophytes.
Donc, oui, il existe un code de couleur pour identifier rapidement les poids :
Après, cela varie :
Bien sûr, il y a d’autres variantes, comme des poids de 50 kilos (oui, ça existe, ou plutôt ça a existé, car un peu galère à charger au squat) ou des poids de 1 kilo pour les tentatives de records.
En Force athlétique, les disques sont le plus souvent en acier alors qu’en Haltérophilie ils sont recouverts de caoutchouc pour la simple et bonne raison que la charge est jetée à terre en fin de mouvement.
Tant que j’y suis, j’en profite pour dire deux-trois choses sur les barres. Une barre en acier, sur laquelle on fixe deux colliers de 2,5 kilos chacun pour bloquer les disques, pèse 20 kilos. Par ailleurs, une barre de Force athlétique est plus rigide qu’une barre d’Haltéro afin de supporter des charges plus lourdes.
J’ajouterai, et cela n’engage que moi, que la rigidité, le moletage (les stries de la barre qui permettent une meilleure prise) jouent un rôle déterminant dans une performance pour les sensations, le confort (ou l’inconfort) qu’elles peuvent procurer au squat ou au soulevé de terre.
Tout le matériel utilisé en compétition (plateau, matériel d’arbitrage, charges, etc.) est homologué selon des normes bien précises, comme pour n’importe quel autre sport.
Voilà, voilà, maintenant que vous savez tout ça, un peu de travaux pratiques : si ce n’est déjà fait, amusez-vous à trouver le poids de la barre qui sert d’illustration.