« Quel sport de cons ! » Franchement, et là je m’adresse aux pratiquants, ça ne vous est jamais arrivé de lâcher ironiquement ce type d’interjection après une intense série de couché, que vous avez menée à son terme, en accompagnant peut-être la dernière répétition d’un long râle ? Bien sûr, c’est toujours sur le ton de la plaisanterie, un « gimmick » de salle pour combler les moments où personne n’a rien à se dire.
Mais dans la vie, hors de la salle, soulever, pousser de lourdes charges, ça peut intriguer certaines personnes. Récemment, une amie me demandait quel intérêt il y avait à chercher à lever toujours de plus en plus lourd. Ben oui, tiens, Raymonde ! t’as raison, ça sert à quoi ?
Et à quoi ça sert de courir un 100 mètres le plus vite possible ou de passer des heures à faire des acrobaties autour de barres asymétriques ?
Tester sa force, la développer, ce n’est pas ludique ? Avez vous vu l’effet que peut produire un appareil de musculation quelconque, que ce soit un banc, un appareil qui bascule pour les abdos, des extenseurs laissés à proximité d’un groupe de personnes ? N’avez-vous jamais vécu ce type d’expérience ? Un exemple : les pompes ou les tractions. Au début, c’est amusant, on essaie, pour voir. Après, soit on échoue, et dans ce cas là, on prend la chose à la rigolade. Soit on se montre plutôt doué et on s’engage alors dans une compétition amicale pour tenter de départager celui (ou celle) qui fera le plus de répétitions. Ce n’est pas plus stupide que de se défier en course à pied, à vélo ou dans l’eau.
Et au fur et à mesure, on se laisse prendre au jeu. Courir de plus en plus vite, de plus en plus loin, sauter de plus en plus haut ou soulever de plus en plus lourd reste le leitmotiv de tout athlète.
D’autres questions, Raymonde ?
Mes amitiés à Raymonde… Au plaisir de la rencontrer 😉
Sport de Cons c’est certain, pléonasmique même, et si vous êtes un petit (ils sont tous petits) instituteur, votre crétinitude est au facteur carré.
On fait l’expérience de la mort en regardant des sportifs défiant leur propre longévité, courir trop vite, pédaler trop vite, frapper trop fort, lancer trop loin, soulever trop lourd.
On s’en approche, on la retourne sous toutes les coutures, on la regarde de près. Mais, mis à part du plaisir malsain, pourrait-on en tirer une philosophie de la vie ?
“Le seul sport que j’aie jamais pratiqué, c’est la marche à pied, quand je suivais les enterrements de mes amis sportifs” disait George Bernard Shaw.
Votre citation de George Bernard Shaw reflète la pauvreté de votre commentaire, qui n’est que mépris pour les instits et les sportifs.
Alors ma question : pourquoi tant de haine et, surtout, d’aigreur ?
La Force athlétique, comme d’autres sports, est une discipline exigeante qui demande de l’assiduité, du courage et de la persévérance; une école de la vie où l’on apprend l’humilité et la valeur du travail car derrière chaque kilo gagné, jamais définitivement acquis, il y a de nombreuses heures d’entraînement. De plus, la performance impose certaines règles de vie.
Fait-on l’expérience de la mort en regardant des sportifs défier leur longévité ? Les pessimistes verront toujours leur verre à moitié vide, alors que les autres diront qu’il est à moitié plein. La Force athlétique, la course à pied, le cyclisme, le judo, pour ne citer que ces sports, comptent parmi leurs pratiquants, des hommes et des femmes qui, à 40, 50, 60 ou 70 ans, présentent une santé que certains individus bien plus jeunes, et surtout moins actifs, envieront et critiqueront toujours en s’appuyant sur des citations trouvées sur internet. Mais bon, il y aura toujours dans la foule un crétin, qui, sous prétexte qu’il ne comprend pas, décrétera qu’il n’y a rien à comprendre…
Le petit instituteur à la « crétinitude » au facteur carré
Turlupeton a dit:
« …On s’en approche, on la retourne sous toutes les coutures, on la regarde de près. Mais, mis à part du plaisir malsain, pourrait-on en tirer une philosophie de la vie? »
Une « philosophie de la vie »? C’est quoi? Tu connais une autre sorte de philosophie? de la mort? de la carotte? de la 1ère à gauche après avoir fait le tour du rond-point? ça ne veut rien dire, ptit con! ça me fait penser au sketch des Inconnus: « moi g jamé fé de l’ éclectisme ».
Jaloux des sportif tu es, car tu dois être moche, chétif, maladif, tu creveras jeune et con. Dans ton corps et ton esprit malade, tu ne peux pas concevoir le plaisir que peut prendre un sportif. Reste dans ta psycho-bidule-analyse-chose de merde.
David, continuez. merci
tulerpeton est le symbole de tous ces aigris. Prompt à la critique plutôt qu’à l’autocritique, c’est ce qui différencie de ceux qui restent à regarder, eternels spectateurs et non acteurs à la différence des sportifs par exemple.
La force athlétique est, comme tous les sports, une remise en cause de chaque instant et c’est ce que votre blog laisse transparaitre. En un seul mot: merci.
c’est l’ignorance qui améne à l’intolérance , chacun peut s’épanouir dans ce qu’il fait à partir du moment que tu nuis à personne …..